Se dit de la première forme qu’on donne â une pierre, à un marbre, etc. Ce mot, qui vient de l’italien abozzo, s'applique particulièrement aux ouvrages de sculpture. A l’égard de l’ar¬chitecture, on se sert plus volontiers du mot esquisse.
C’est ôter d’une pierre ou d’un moellon le bouzin et les moyes, et l'atteindre avec la pointe du marteau jusqu’au vif.
Petits ornements qui se taillent sur des moulures rondes, en manière d’écailles de poisson. On les adapte aussi sur des couvercles de vases, de trépieds, et on en décore quelquefois la convexité des coupoles. La couverture du petit monument de Lysistrate à Athènes, appelé vulgairement la lanterne de Démosthène, a son sommet ainsi sculpté. L’origine de ce genre d’ornement adapté à ce genre d’architecture, est facile à reconnaitre. En bien des pays on taille ainsi les ardoises sur les toitures. Les tuiles de bois qu’on pratique ailleurs s’ajustent volontiers en forme d’écailles. Le dôme de la Sorbonne à Paris est couvert d’ardoises ainsi façonnées, et cette pratique convient assez bien aux parties convexes.
ECAILLES OU ECLATS DE MARBRE. Ce sont les recoupes du marbre qu’on pile et qu’on réduit en poudre pour en faire du stuc.
Place de prière, église. Ecclesiola est parfois utilisé par les auteurs anciens pour désigner des églises de tailles diverses.
C’est dans les vieux châteaux une espèce de tourelle élevée sur une tour ou une terrasse pour faire le guet.
Mur rampant par le haut, qui porte les marches d’un escalier et sur lequel on pose la rampe de pierre, de bois ou de fer. Il est ainsi nommé parce que, pour poser les marches, on les chiffre le long de ce mur.
C’est le nom qu’on donne au quart de rond ou à la portion de cercle quelconque qui n’a à proprement parler ni astragale ni gorgerin. De petits filets ou listels, tantôt au nombre de trois, tantôt au nombre de cinq, réunissent la colonne à l’échine. Celle-ci est assez variable, tant dans son épaisseur que dans sa saillie. Le mot échine paraît dériver du grec, qui veut dire la coque d’une châtaigne. On donne en effet ce nom, dans un quart de rond taillé, à la coque qui renferme l’ove. Cet ornement se place assez volontiers au haut du chapiteau de la colonne ionique. On le taille aussi dans les corniches ioniques et corinthiennes. Échine est souvent synonyme de tore, pour exprimer le quart de rond du chapiteau dorique.
piedroit d'une porte ou d'une croisée, la pierre qui fait l'encoignure de l'embrasure qui est jointe avec le lancis
Tribunes à jalousie, où se trouvent les personnes qui ne veulent pas être vues dans les salles de spectacles ou les écoles.
Terme de serrurerie, petite plaque de fer qu'on met sur les portes et dans laquelle on entre la clef.
Diminutif d'écu. L'usage d'introduire des écussons dans l'architecture remonte à la plus haute antiquité.
Evêque de Noyon il est connu pour ses travaux d'architecture, d'orfèvrie et d'ornement. Parmi ses oeuvres le monastère de Solognac, près de Limoges; l'église St. Paul, et St. Martial, à Paris; les bas-reliefs du tombeau de saint Germain. Il est aussi considéré comme le fondateur de l'abbaye du mont Saint-Éloi située à l'ouest d'Arras. Il mourut en 659.
Espèce de base continue en manière de large retraite au pied d'un édifice.
Charpenterie: C'est dans l'assemblegae d'une porte collée et emboitée une espèce de traverse qu'on met à chaque bout pour retenir en mortaise les ais à tenon collés et chevillés. Les emboitures doivent toujours être en bois de chêne.
Assemblage à queue d'aronde de quatre chevrons chevillés en dessous de la plinthe et du larmier d'une souche de cheminée de plâtre pour éviter qu'elle ne s'éclate.
Ouverture dans le mur d'une forteresse utilisé pour y mettre des armes.
feston fait de fruits et de fleurs décorant une frise
Vient du latin tabulatum, qui signifie plancher.
Celte étymologie ne donne qu’une idée incomplète de 1’entablement ; mais elle le rappelle à son origine, et sous ce rapport elle est précieuse. Ainsi, c’est aux solives du plafond supporté par l’architrave que l’architecture dut les formes essentielles qui constituent cette troisième partie de l’ordonnance. L'entablement se compose ainsi de trois parties, l’architrave, la frise et la corniche. Il comprend par conséquent l’ensemble du couronnement de chaque ordre. A l’article où l’on traite de chacun de ces ordres en particulier, on donne la description des formes et l’analyse des proportions affectées aux divers entable- mens. Le détail de ces variétés serait ici une redite fort inutile.
L’entablement est une des plus riches inventions de l’architecture grecque, et une de celles qui lui assurent une supériorité marquée sur toutes les autres architectures. Indépendamment du système sur lequel il se fonde, et qui lui garantit une fixité que nul autre ne pouvait lui procurer, il faut reconnaitre que sa disposition est la plus favorable à la variété que chaque caractère peut exiger, et se prête avec la plus grande facilité à la richesse comme à l’économie des ornements. C’est particulièrement dans l’entablement que se prononcent le style, le caractère, le goût et le genre propre de chaque édifice. L’entablement en est en quelque sorte la tête, et c’est là que sa physionomie semble se saisir plus facilement. Cette physionomie peut se prononcer de deux manières : par les détails de la modénature et par le choix des ornements. Les détails de la modénature sont ce qu'on appelle les profils. Il dépend de la combinaison de ces profils, de leur nombre ou de leur rareté, de leur saillie plus ou moins grande, de leur fermeté ou de leur mollesse, d’imprimer à un édifice un caractère grave ou léger, élégant ou massif, grandiose ou mesquin, pur ou confus. C’est là que le connaisseur attend ¡’architecte, et c’est par là qu’il le juge.
Entablement de couronnement. C’est celui qui couronne un mur de face lequel n’est décoré d’aucun ordre d’architecture; ou qui couronne la décoration intérieure d’un salon, d’une galerie, etc.
Entablement recoupé. Entablement qui fait retour en avant-corps sur une colonne ou un pilastre, comme aux arcs de Titus ou de Constantin à Rome.
de intaglio, Italien
On fait des entailles dans le bois, la pierre, le marbre et autres matériaux, et ces entailles ont différons objets. Le plus ordinaire est celui de la liaison des pièces dont se compose un ouvrage.
traitement appliqué aux blocs de pierre utilisés pour la construction d'un bâtiment.
mot grec par lequel les anciens exprimaient ce que nous entendons en archi-tecture par renflement dans le galbe de la colonne.
Principale pièce de bois de la charpente d’un comble, qui en traverse et en lie les parties opposées, et sur laquelle sont assemblés le poinçon et les arbalêtiers. Lorsque les combles ont beaucoup de hauteur, on y place un second entrait, lequel alors s’appelle petit entrait. Dans les enrayures, la pièce qui est d’équerre avec le grand ou maître entrait, et joint le mur de pignon, se nomme demi-entrait.
passage pour communiquer entre deux appartements
On dit ausi entrecolonne. C’est l’espace qui est entre deux colonnes, mesuré de l’endroit où elles ont une grosseur égale.
Ornement de meubles, de rampes, de grilles et autres objets semblables, que l’on emploie, soit dans ces divers accessoires, soit dans la sculpture même, dont les membres de l’architecture reçoivent leur décoration. Le mot entrelas fait lui-même la définition de cette espèce d’ornement. C’est un entrelacement de lignes combinées dans toutes les formes imaginables, et qui produit des découpures dont l’aspect agréable, selon le choix qu’on en fait, donne un caractère de légèreté aux objets où on l'applique.
D’après les dessins que Chambers nous a donnés des maisons et des meubles des Chinois, il paraît que ce peuple est aussi fécond qu’ingénieux dans la manière de les diversifier. La plupart de ses sièges, de ses tables et de ses balustrades, sont ornés d1 entrelas, il est vrai que les joncs et les bambous, dont se composent presque tous ces meubles, se prêtent à merveille à la légèreté que comporte ce genre d’ornement.
L’entrelas est l’ornement propre à la serrurerie. Le fer ayant une solidité qui permet de tout oser, on forme dans les balcons, dans les grilles, dans les rampes d’escaliers, tous les dessins imaginables; et ses dessins sont presque toujours des entrelas. Il y entre, il est vrai, souvent de la confusion, et les variétés de ces contours ne sont pas toujours heureuses. Le bois ne pouvant pas aussi facilement recevoir toutes les inflexions qu’on donne au fer, dans les balustrades, on se contente ordinairement d’y pratiquer des entrelas à lignes droites, .tels, par exemple, que l’ornement connu sous le nom de grecque. Les balustrades de bois en entrelas sont devenues très communes depuis que le goût du jardinage irrégulier a prévalu. Elles font an effet agréable dans les jardins. L’architecture emploie 1’entrelas en sculpture de deux manières. D’abord dans les balustrades en pierre , soit celles qui servent d’appui à des croisées, soit celles dont on forme des rampes d’escaliers ou de tribunes : on y place quelquefois des entrelas sculptés en pierre ou en marbre. Alors ils tiennent lieu de balustres. Cela se voit ainsi à plus d’une rampe d’escalier moderne. Toutefois il faut dire que comme on est obligé de donner beaucoup d’épaisseur de ces sortes d' entrelas, et que pour leur procurer de la solidité il faut faire en sorte que les pleins l’emportent sur les vides, cet ornement ainsi sculpté en relief devient lourd, et sort pratiqué les gothiques, et ces bagatelles ne sont plus dn ressort de l’architecture.
Intervalle qui règne entre deux pilastres. Lorsqu’une ordonnance de pilastres correspond à une ordonnance de colonnes, l’entrecolonnement de celles-ci devient la mesure nécessaire des entrepilastres. A l’égard des édifices dont les pilastres seuls font la décoration, on y applique les règles et les principes suivis dans l’art d’espacer les colonnes. Il peut régner cependant sur cet objet beaucoup plus de liberté. Il y a des convenances relatives à la solidité comme à l’effet des colonnades, et sur lesquelles se fonde la théorie des entrecolonnemens, qui ne sont en rien applicables à la décoration en bas-relief que forment les pilastres.
C’est un petit étage pris dans la hauteur d’un grand étage, ordinairement celui du rez-de-chaussée, dans lequel on ménage ou de petits appartements d’hiver, ou des garde-robes, ou des logements de domestiques.
L'entresol a pris naissance, dans les grands palais, des convenances ou des nécessités dont on vient de parler. La grandeur des pièces principales, surtout au rez-de-chaussée, n’étant point d’accord avec le reste des autres pièces, on a trouvé aussi commode qu’utile de diviser en deux la hauteur de celles qui ne sont point de parade ; et l’on a, pour un petit étage interposé et dissimulé à l’extérieur, multiplié les dégagements et les logements dans un même étage. Bientôt on a bâti exprès des entresols dans le plus grand nombre des maisons, et même des maisons particulières. Dans ce cas, l’entresol n’est plus un étage furtif, dérobé à la vue, et pris aux dépens d’un autre; il entre dans le dessin primitif du bâtiment; on lui donne sa proportion déterminée, et même ses embellissements particuliers. Les Italiens appellent mezzanine ce que nous ap-pelons entresol; ils en pratiquent dans leurs palais, et ils les font apparents. Ce petit étage se trouve ordinairement, dans l’ordonnance générale, faire partie du soubassement. Le mezzanine ou entresol ne comportant point la décoration d’une ordonnance particulière, et cet étage, qu’on pourrait appeler étage de souffrance ou d’exception, se trouvant ordinairement fort bas et placé au-dessous des grandes étages, il est facile de voir qu’on doit le considérer plutôt comme un hors- d’œuvre dans la décoration d’une façade, que comme devant en faire partie intégrante. On ne saurait lui appliquer aucun ordre, car cet ordre serait ridiculement petit, eu égard à ceux qui le surmonteraient. Lors donc qu’on est forcé dans un grand palais de pratiquer des mezzanines, le bon sens et le bon goût veulent qu’on leur donne à l’extérieur le moins d’importance possible. En Italie, on les pratique quelquefois entre un étage et un autre, et alors ils présentent au dehors de petites fenêtres carrées ornées d’un simple bandeau, et qui, soit par la pro¬portion, soit par la décoration, le cèdent aux croisées des étages principaux. Toutefois la meilleure manière de placer cet étage de sujétion est de le rendre partie du soubassement général, lorsqu’on ne fait pas du rez-de-chaussée un étage principal.
Pièce de bois qui sert à entretenir les poteaux d’une cloison et d’un pan de bois, les faîtes avec les sous-faîtes, les sablières et les plates-formes du pied d’un comble.
Assemblage en manière de croix de saint André, posé de niveau entre les entraits de l’enrayure d’un dôme.
Est l'intervalle qui est entre deux solives d’un plancher ou d’un poteau de cloison , qu’on remplit de maçonnerie en plâtras, ou qu’on couvre seulement d’un enduit sur lattes.
CHARPENTE: Jonction par entaille de deux pièces de bois mises bout à bout. On dit enter pour cette opération et entes pour les pièces de bois elle-mêmes
C’est le nom que donnent les ouvriers à l’éclat du bord d’un parement de pierre emporté par un coup de masse ou de testu mal donné.
Pavés provenant des carrières de grès calcaire d'Epernon (Eure et Loire)
Dans les palestres des Grecs ou pratiquait un double portique régnant tout à l’entour. Ces portes donnaient entrée à plusieurs sortes de salles, du nombre desquelles était l’ EPHOEBEUM. C’était, selon Vitruvius un lieu spacieux, rempli de siégea, et d’un tiers plus long qu’il n’était large.
Comme Hébé signifie en grec la puberté , qui arrive à quatorze ans, âge où les garçons commençaient les exercices du corps, tous les interprètes disent que l’ephœbeum était destiné à ces exercices. Palladio croit que c’étaient les petites écoles des garçons, et que le coriceum était celle des petites filles.
Ornement en terre cuite ou en plomb qui recouvre l'extrémité d’un poinçon de croupe ou de pavillon, à la sortie d'un comble.
Ce mot est synonyme d’inscription, avec la seule différence qu’il est grec, et que l’autre est latin. L’usage lui a affecté, toutefois, un sens particulier: inscription sur des bâtiments quelconques, faite sur la pierre ou table de marbre, en l’honneur de celui qui les a fait ériger.
épigraphe
Grès micacé, que l’on tire des carrières de Razimont, commune d'Êpinal. Cette pierre est de couleur blanc-jaunâtre et à grains fins
Étage supérieur de la scène dans la décoration des théâtres antiques. Comme la scène avait parfois trois rangs d’ordonnances, l’épiscenium devait consister tantôt dans un ordre et tantôt dans un attique ou tout autre couronne-ment.
Synonyme de l’architrave
inscription que l’on pratique sur un tombeau. Se dit aussi d’un morceau d’architecture orné de sculpture, comme bustes, figures et médaillons symboliques, placé dans un cimetière , contre un mur d’une chapelle ou autres lieux. PLUS--->
Membre supérieur de la corniche surmontant le pédiment d'un temple.
Prison d’esclaves chez les Romains. L'ergastulum était un endroit souterrain ne recevant de jour ou plutôt d’air que par d’étroites fenêtres, assez élevées pour que les prisonniers ne pus¬sent les atteindre avec la main.
Dans les premiers siècles de l’Église, les chrétiens durent chercher un abri contre les persécutions ; un grand nombre d’entre eux, poussés par ce désir et par leur enthousiasme religieux, se réfugièrent dans les lieux déserts. Les premières habitations qu’ils choi-sirent pour ermitages furent des grottes ou cavernes, plus ou moins profondes, isolées ou groupées en petit nombre. Les monastères doivent leur origine à cette coutume, adoptée par les ermites, de choisir, pour demeure, des cavernes rapprochées les unes des autres, de façon à ce qu’ils pussent se prêter un mutuel secours
Piédestal qui supporte un vase, une statue, etc., dans les galeries et les cabinets
Partie d’un fût de colonne qui est voisine de la base. On donne môme quelquefois ce nom à radoucissement qui raccorde le fût avec le filet inférieur.
--1 Partie d'un mur en talus comprise entre le pied et le cordon.
--2 Gabarit en bois employé par les maçons pour régler le talus d'un mur.
--3 ARCHITECTCRE MILITAIRE. Paroi extérieure d’un ouvrage de fortification , depuis le fond du fossé jusqu’au pied du talus extérieur du parapet ou jusqu’à la magistrale. L'escarpe est bordée intérieurement par une berme ou chemin compris entre le pied de l’escarpe et le fossé, par une fausse braie ou par une fraise.
Nom que l’on donnait, au moyen âge, à de petits ouvrages de fortification construits en saillie sur un mur d’enceinte, soit pour défendre les approches d’une porte, soit pour enfiler un fossé.
Appareil de fermeture pour les croisées, ainsi nommé, dit-on, parce qu’il nous vient d’Espagne.
galerie ou portique à l'intérieur ou à l'extérieur d'une maison.
Forte pièce de bois qui sert à soutenir provisoirement un mur, une partie de construction ou des terres minées. Les élançons sont les pièces verticales ou légèrement inclinées qu’on emploie dans les étalements
Architecte grec, fils de Naustrophus, originaire de Mégare. Cité par Hérodote comme l'architecte de grands ouvrages à Samos.
Architecte grec né à Argos où il construisit le temple de Junon.
Mot provenant du grec et qui signifie cadence, rythme, accord. On emploie ce terme, en architecture, pour désigner la belle proportion d'un ensemble, l'harmonie qui règne entre les parties d’un tout.
Entrecolonnement de deux diamètres et un quart, celui que Vitruvius juge le plus convenable, sauf pour le milieu de la façade et de l'arrière de l'édifice, où l’espace compris entre les colonnes était de trois diamètres.
Pierre ca¬caire dure, de très bonne qualité, que l’on extrait des carrières d'Euville, pès de Commerey. Cette pierre qui est connue sous le nom de pierre de Lorraine, comme les pierres de Lérouville et de Mécrin, est un calcaire à entroques, dur, blanchâtre, formé presque entièrement de débris d’encrines, et qui est inaltérable à la gelée et aux intempéries.
Mot venant du grec qui indique, en général, un lieu où l’on s'assied. On désignait principalement ainsi, chez les anciens, une salle garnie de bancs où se réunissaient les philosophes pour conférer ou discuter. Vitruvius nous apprend qu'il y avait des exèdres dans les palestres ou gymnases des Grecs, dans les thermes de Rome et dans les habitations particulières de première classe.
Aujourd’hui, on appelle exèdres des constructions légères à jour, mais cou-vertes, établies sur plan demi-circulaire et qu’on place dans les parcs ou dans les jardins publics, pour servir de siège et d’abri aux promeneurs, tout en leur permettant de jouir d’une vue agréable.